Archives d’Auteur: Nelly Chadour

À la guerre comme à la guerre

Bataille rangée entre deux syndicats ouvriers sur un chantier de construction, on parle de tirs de mortier.


À la guerre comme à la guerre

 Je sais ce que tu penses : « C’est six fois qu’il a tiré ou c’est cinq seulement ? ». Si tu veux savoir, dans tout ce bordel j’ai pas très bien compté non plus. Mais c’est un Iron Spit 5000, le plus puissant soufflant à clous qu’il y ait au monde, un calibre à vous arracher toute la cervelle. Tu ne dois te poser qu’une question : « Est-ce que je tente ma chance ? » Vas-y, tu la tentes ou pas ?
Je crois que je suis déjà fixé, répondit Jésus les deux mains clouées à la planche.


À la guerre comme à la guerre

— Hé, t’as vu mon pistolet à clous, baby ? C’est le Iron Spit 5000 ! Système à injection haute précision. Ça t’enfonce un clou jusqu’à la tête, à t’en péter les pinces pour l’extirper. Rien ne lui résiste ! Chêne, ébène, tous les bois le sentent passer. Le marbre fait pas le fier et je te raconte pas la pierre !
— Et les os ?
— Quoi les os ? Je suis charpentier, pas boucher !
— Bah, il n’y a plus de cordes pour fixer ce gus à sa croix, on va donc avoir besoin de ton joujou.
Le charpentier fixa son pistolet breveté et le pauvre hère couronné d’épines.
— Un joujou… Jupiter, pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils disent.


À la guerre comme à la guerre

— Hé, t’as vu mon pistolet à clous, baby ? C’est le Iron Spit 5000 ! Système à injection haute précision. Mécanisme électronique breveté, ça défonce !
— Moué, c’est mignon. Atta ! Hmmmmmmmffffffffff ! Ho-hisse !
— Que-que-que-que… ?
— Pas mal, hein ? C’est ma Gatling à clous, spéciale poutrelles en fonte, haute précision. Ce bébé te crache des clous de neuf pouces à une cadence de 1200 par minutes… Mais… reviens ! je te laisserai même l’essayer ! Pars pas sans ton joujou !


À la guerre comme à la guerre

— Hé, t’as vu mon pistolet à clous, baby ? C’est le Iron Spit 5000 ! Système à injection haute précision. Son système électronique te permet d’empaler une mouche à 100 pas. Et avec ça, je vais… PAN ! Arg…
— When you have to shoot, shoot ! Don’t talk ! maugréa Tuco en sortant de son bain moussant.


Je t’haine

— Grouik ? Pourquoi, Jean-Claude, pourquoi ? gémit Piggy la cochonne en hoquetant des bulles de sang.
— Pardonne-moi mon amour, mais… c’est que je dois aussi gagner ma vie, sanglota le charcutier zoophile.


Je t’haine

Après plusieurs extractions malencontreuses, poses de couronnes couronnées d’insuccès et détartrages trop décapants, le patient pourtant doté de toute la qualité dû à son titre se sentit pousser une dent contre sa belle dentiste. Et die qu’à l’origine, il en était mordu. A son insu, elle le trouvait également à croquer et sucrait patiemment la fraise dentaire en vue de sa prochaine visite.


Espèces disparues (ou pas loin)

Après la chute de la météorite qui fit disparaître toutes les espèces sans exception, seul le chat de Schrödinger coincé dans sa boîte survécut à l’apocalypse… ou peut-être pas.


Espèces disparues (ou pas loin)

— Wah, p’tain, y a un espèce de con, il m’a grillé la priorité !
— UNE espèce, vandale linguistique ! hurla le grammairien psychopathe avant d’exploser la tête du-dit vandale à coups de Littré. C’est UNE espèce, c’est un nom fééééééminin !
Le grammairien psychopathe avait encore bien du boulot pour transformer les bourreaux de la grammaire en des espèces de disparus.


Espèces disparues (ou pas loin)

Avec l’usage de plus en plus répandu de la carte (bleue, gold, à puce, à gratter, prépaiement, spéciale festival, on rouge, etc), le paiement en espèces a presque complètement disparu. Les numismates ont viré paléontologues.


Explorations

« Comme c’est excitant ! s’écria Marie-Eugénie à la barre de son bateau à moteur fraîchement acquis. Plus on remonte le Seine plus on descend bas dans l’échelle de l’humanité ! Là, je vois que nous sommes près de Saint-Michel avec tous ces touristes wisigoths habillés de façon désastreuse. Et dans peu de temps, nous apercevrons les clochards de la gare d’Austerlitz, puis les huns du 13ème arrondissement. Et aujourd’hui, nous allons remonter encore plus loin pour observer les mystérieux romanichels peuplant les rives d’Ivry. Et un jour, oui, un jour, nous apercevront nos premiers africains. Hou, comme j’ai hâte ! »
Charles-Maréchal lui adressa un sourire crispé et enclencha discrètement une balise Argos. Il se jura qu’une fois marié avec cette tête folle, il lui ferait une demi-douzaine de lardons pour qu’elle se tienne enfin tranquille.


Explorations

Il fallut des années de courbettes et de docilité feinte à Marie-Eugénie avant que ses parents, apaisés et persuadés d’avoir enfin maté cet esprit rebelle, daignent lâcher un peu de lest. A leur insu, cette petite tête folle avait déjà une idée bien précise en tête. Pendant des mois, elle mit de côté une partie de l’argent qu’on lui confiait pour les bonnes œuvres de l’église Sainte Rita. Et quelques jours après ses douze ans, la voilà prête pour la grande aventure. Prétextant une visite à la bibliothèque pour un exposé sur les bienfaits d’un retour des semaines de 70 heures, elle prit la poudre d’escampette sur son vélo électrique. Pour ne pas se perdre, elle suivit les rives de la Seine. La panique pointa le bout de son nez pointu quand elle passa la ligne imaginaire du 16ème arrondissement.
« Le 8ème, suffoqua-t-elle en lisant les plaques des rues. Je suis dans le 8ème ! »
Pendant ce temps, un fils de militaire, Charles-Maréchal Nouvoila faillit s’évanouir sur le trottoir opposé :
« Le 16ème ! J’ai posé un pied dans le 16ème ! »


Explorations

« Marie-Eugénie, au Nom du Ciel, que fais-tu ?!
_ Quelle inconscience ! Arrêtez-la ? »
On se précipite et, après une course-poursuite effrénée, on rattrape la petite fille toute pimpante en robe rose et nœuds de soie dans les cheveux. Un peu plus et elle posait le pied dans la gare RER de la station Champ de Mars. Monsieur Petdesoie père qui n’a jamais couru aussi vite de sa vie serre la petite fuyarde dans ses bras.
« Ne recommence plus jamais ça, petite sotte. C’est dangereux, ici, il y a des gens du commun qui rôdent ! »
Au milieu du pont de Bir-Hakeim que l’enfant  a traversé comme une flèche, le reste de la famille attend, inquiète, n’osant poser le pied sur la ligne imaginaire séparant le 16ème arrondissement du 15ème.


Explorations

« Mère, s’enquiert poliment la petite Marie-Eugénie. Qu’est-ce qu’il y a après Paris, là où se lève le soleil ? »
Madame Petdesoie manqua s’étouffer avec sa gorgée de thé importé spécialement du Sri Lanka.
« Voilà bien une question singulière, ma chère enfant, répondit la daronne après s’être essuyée dignement le menton avec son mouchoir de soie. Après Paris, il n’y a rien qui vaille la peine d’être vu.
_ Mais encore ? insista la gamine. A-t-on déjà exploré ces territoires, y a-t-il de la vie là-bas.
_ Il suffit, mademoiselle la curieuse ! Tu… tu ne veux pas plutôt que je t’explique comment on fait les enfants ? Alors il faut un papa, une maman… »


Explorations

Un beau soir d’avril 198… dans une maternité de Neuilly, naquit la petite Marie-Eugénie du Petdesoie, sixième enfant d’une respectable famille de notables notaires et de radieux rentiers. A l’insu de ses heureux géniteurs, dès qu’elle ouvrit les yeux sur le monde, son regard se porta sur la ligne de l’orient, vers l’Est sauvage au-delà de la grande ville. Elle irait là ou aucun habitant du 92 n’aurait osé mettre le pied sans une bonne escorte policière. Elle explorerait la jungle de la Seine-Saint-Denis.


Force rouge

Le monde eut chaud aux fesses lorsque Staline, après quelques cocktails, décréta que ce serait Molotov qui dirigerait l’élaboration de la bombe atomique soviétique. Heureusement, le ministre ne s’enflamma guère sur ce projet.


Force rouge

— Dans la famille Trotski, je demande Léon.
— Pioche !


Figures libres

Un employé du centre de tri des déchets, fou amoureux de son métier, partit passer ses vieux jours sur le 7ème continent, cet amas flottant de dégueulasseries de platoc et de débris toxiques. Là-bas, il se construisit une villa en pots de yaourt, carapaces de tortues asphyxiées, bâtonnets d’esquimau et os d’eskimos se confondant avec le polystyrène. Sa famille commença à vraiment s’inquiéter quand il retapa une poupée gonflable, la présentant comme sa fiancée et promena un poupon borgne en celluloïd dans une poussette rouillée. « N’est-il pas trachou ?», disait-il. Désireux de l’évacuer de cet environnement mortifère, ses proches le firent enfermer dans une maison de retraite où il termina sa vie à déchiffrer des rébus parmi les vieux débris.


Force rouge

« Camarades, il nous faut une couleur forte pour symboliser notre lutte. Je vous propose le rouge, comme le sang que versent le prolétariat pour le confort des bourgeois. Qu’en penses-tu, camarade Trotski ?
— Hummmm, ça me rappelle le pourpre des cardinaux du catholicisme débauché. Ne peut-on pas trouver une autre couleur ?
— Eh quoi ? Tu préfères le violet ? Qu’y a-t-il ? Te voilà tout pâle soudain…
— Ce n’est rien, j’ai cru entendre un autre mot et voilà qu’une de ces foutues migraines me saisit… Finalement, je crois que le rouge ira très bien.
— Curieux… Quel autre mot peut ressembler à violet et te troubler ainsi ? Violet… violent… piolet… Bah ! peu importe, le rouge est adopté ! »


Figures libres

— Voulez-vous entendre l’histoire du capitaine ivrogne qui traversa les sept mers pour goûter tous les rhums et mourut de delirium d’avoir vidé ses cales trop vite ? Allons, versez-moi à boire si vous voulez connaitre toute l’histoire. Il avait exigé de son équipage la plus parfaite sobriété, au régime sec l’équipage, tout comme Ulysse avec le chant des sirènes, le capitaine était le seul habilité à savourer les échauffants nectars…. Encore un peu, et pas plus haut que le bord, je vous prie… Haaaaaa, comme ça fait du bien ! Il avait tout calculé à la flasque près, en buvant du rhum agricole au lever, une bonne vodka frappée au coucher et les journées consacrées à Bacchus, son foie était assuré de cultiver une jolie cirrhose bien rose. Hélas ! Il n’avait pas prévu qu’il embarquerait un passager clandestin, un boit-sans-soif presque aussi acharné pour qui les planques d’alcooliques n’avaient pas de secret. Pourtant il aurait dû se méfier de cette longue caisse toute noire embarquée depuis ce port de la Caspienne. Il aurait dû fouiller attentivement sous ce matelas de terre roumaine dissimulant le corps du monstre le plus abject et surtout ! le plus menteur. Car contrairement à ce qu’il a toujours prétendu, Dracula boit toujours du vin puisque c’est le sang de la vigne.


Figures libres

On a longtemps parlé des mygales se cachant dans les Yuccas. La sœur du copain de la voisine à mon beau-frère avait même passé une semaine entière sans dormir : on lui avait offert une de ces plantes aux feuilles pointues et son arachnophobie l’avait plongée dans la psychose la plus handicapante. Mais le frère du collègue de pote du club de golf à mon cousin connaît la vérité : En réalité, ce sont des dragées Fuca, pleines d’acariens qu’il faut se méfier. Une simple dragée et ces horribles petites bestioles s’offraient le grand huit dans votre système digestif. Et certaines ne sortaient jamais. Une faute de frappe a détourné le vrai problème sur une plante innocente.


Figures libres

Haïku du maton :

Qui est prisonnier,
Du taulard ou du geôlier ?
Même horizon clos.


Figures libres

Haïku du jour :

Bébés araignées
Savourent leur chair maman.
Amour dévorant.


Figures libres

Haïku de la nuit :

En cadeau de noces
A l’épouse du vampire,
Un collier d’ail frais.

 


Figures libres

Haïku du soir.

Dans l’œil de mon chat
Éclats de lumière d’or.
Un soleil captif.


Figures libres

Haïku sacré :

Le corps de Shiva
Foulé du pied par Kali.
Divin masochiste.


Figures libres

Haïku du soir.

Art synesthésie
De l’image assourdissante.
Un tableau de Munch.


Figures libres

Haïku du soir.

Un volute noir
Vers le bleu du ciel s’élève.
La fumée des morts.


Figures libres

Haïku du matin

Un enfant observe
Les étoiles hurler et fuir
Dans un ciel de guerre.


Figures libres

Haïku du soir :

Notre anniversaire
Étincelant de bougies.
Je les souffle seule.


Abductions

On ne revoyait pas tous les terriens kidnappés et pour cause ! Ils étaient recyclés dans les grandes chaudières des vaisseaux qui pratiquaient le chauffage par abduction.


Abductions

Panique dans les abattoirs tandis que se multiplient les vidéos insoutenables dénonçant la cruauté envers les pauvres vaches. Heureusement, le directeur d’une usine de mort texane a trouvé une idée lumineuse pour détourner l’attention et affoler les ufologues au détriment des amis des bêtes : désormais, ses ouvriers étourdissent, égorgent et éviscèrent déguisés en Petit Gris.


Abductions

« Major Prööth, pourquoi ne ferions-nous pas nos prélèvements dans cette région ? proposa l’aspirant TrröÖ en montrant la brochure publicitaire de la Fistinière. Là-bas, les anus sont tout épanouis, de vrais boulevards !
Trop dangereux, aspirant, cela fait des années que nos ennemis les Reptiliens essaient de boucler l’endroit en se faisant passer pour des grenouilles de bénitier. »


Abductions

Les P’tits Gris préfèrent agir aux beaux jours, quand l’épidémie de gastro ne bat pas son plein. Parce qu’ils n’aiment pas que ça gicle quand ils sondent. Sinon, ils chercheraient du pétrole.


Textoys et flesh fictions

Zoophile et fétichiste des pieds, ce pervers ne prenait pas tous ses pieds sur les mêmes sabots.


Textoys et flesh fictions

Ce mec était tellement une tête de nœud qu’il ne savait jamais par quel bout enfiler son préservatif.


Textoys et flesh fictions

Bien sûr que si, la taille compte ! A-t-on déjà vu un rat proposer un 69 à une girafe ?


Danse avec les Poulpes

La baudroie pensait être tranquille dans les abysses. Hélas ! La pollution humaine est parvenue à descendre si profond, si profond, avec tous ses métaux lourds, que la terrifiante baudroie avec son appendice lumineux risque fort de devenir une espèce éteinte.


Danse avec les Poulpes

L’Atlantide engloutie n’était pas morte, oh non ! Loin des regards terrestres, elle avait repris vie et les rues submergées grouillaient d’activité. Les requins marteaux et les requins scies aidaient à la fortification des hautes murailles, les crabes et les bernard-l’hermite consolidaient les remparts, tous s’affairaient avec célérité. Mais à leur insu, une armée se préparait.
Constituée d’orques et de requins-gobelins, elle louchait sur cette Minas Tirith sous-marine.


Danse avec les Poulpes

Le Grand Ancien ouvrit les yeux et s’extirpa enfin de ce rêve où il attendait. Il ouvrit largement ses immenses tentacules et fut saisi par une impression indicible, dérangeante d’inquiétante étrangeté. Il aperçut ce qui l’environnait dans les profondeurs marines.
Ce n’était pas la cité engloutie de R’Lyeh. Et face à lui, des mufles monstrueux se pressaient contre une surface de verre polie.
Comprenant alors qu’il était plongé dans ce cauchemar récurrent où lui, le grand Cthulhu, n’était que l’objet dérisoire de l’admiration cruelle des humains, il se cogna la tête contre les vitres de l’aquarium en hurlant sa rage, ne laissant dans son sillage qu’une myriade de bulles qui produisirent un glougloutement ridicule en crevant à la surface.
Il se vengerait cruellement à son réveil, quand s’éteindraient les lampes de l’aquarium.


Danse avec les Poulpes

A trop tomber de Charybde en Scylla, Ulysse en tomba des nues, ou du moins dans son plus simple appareil sur les plages de la nymphe Calypso.
« Hummmmm, apprécia la coquine en coquilles, pas dégueu, le p’tit phoque, je vais d’ailleurs m’en faire un fuck-friend. »


Danse avec les Poulpes

Les tortues ne sont pas stupides, si elles s’étouffent en mangeant des sacs en plastique flottants, c’est parce qu’elles les confondent avec les méduses évidées que les sirènes utilisent  pour transporter leurs courses.


Danse avec les Poulpes

Cette ondine indécise avait toujours le cul entre deux eaux.


Danse avec les Poulpes

Dans sa ferme sous-marine, le fermier se couche toujours avec les poulpes.


Danse avec les Poulpes

Journée glandouille, chez Ondine et Océane. Elles papotent, s’accrochent des cadavres d’oursin dans leur chevelure flottante tandis que leur poulpe de compagnie s’emmêle les tentacules avec une pelote de varech.
— Les scientifiques ont découvert que les poulpes étaient plus intelligents que des chats, s’exclame Ondine qui lit un vieux Science et Vie tandis qu’Océane lui vernit les écailles.
— Quel dommage qu’ils ne soient pas aussi mignons !
— Heu… miaou ! hasarde leur poulpe en essayant de se lécher les testicules entre ses tentacules.


Les super aventures de LaFaucheuse

LaFaucheuse possède une résidence en Bretagne, dans un domaine de dolmens appelé Ker Ankou. Son amour des crêpes n’est pas étranger à ce choix de mort-légiature : quand les bretons n’en ornent pas leur chapeau pendant les enterrements, ils les préparent à la farine de blé noir.


Les super aventures de LaFaucheuse

Vulcain vit débouler dans sa forge une vieille connaissance.
« Salut, dit LaFaucheuse en tendant sa faux multimillénaire que le dieu avait fabriquée de ses mains, je viens faire la révision des 30 000 kilo-êtres. »


Les super aventures de LaFaucheuse

Quand LaFaucheuse prend des vacances, elle emploie quelques kamikazes en CDD non renouvelable.


Les super aventures de LaFaucheuse

Faucher les nourrissons est une des facettes les plus pénibles du métier de LaFaucheuse. Alors pour se donner du courage, elle se saoule la gueule à la Mort Subite.


Les super aventures de LaFaucheuse

LaFaucheuse aime bien parcourir le site des Darwin Awards, ça lui fait un album souvenir de ses fauches les plus cocasses.